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Par Paul Poivert

Depuis quelques années, un débat oppose le milieu médical aux instances fédérales, concernant les risques encourus par la pratique de la remontée sans embout. Censée prévenir les risques de surpression pulmonaire, l’entraînement à la RSE a causé plusieurs accidents. Alors, faut-il supprimer cet exercice trop risqué, faut-il le conserver pour prévenir d’autres accidents, ou bien y aurait-il une troisième solution ?…

La remontée sans embout (RSE), exercice pratiqué à la Fédération Française d’Etudes et de Sports Sous-Marins pour son niveau 4 et son monitorat 2e degré (MF2), n’en finit pas de soulever des polémiques. Il s’agit, pour un plongeur simulant un manque d’air, de remonter à la surface en expirant le trop plein d’air des poumons, dû à l’expansion de celui-ci sous l’effet de la loi de Mariotte sur la compression des gaz. A l’origine un exercice de sécurité visant à donner les moyens au plongeur en panne d’air de pouvoir regagner la surface en sécurité, il est de plus en plus critiqué suite à des accidents de surpressions pulmonaires survenus lors d’exercices. A tel point que certaines voix, notamment dans le milieu médical, s’élève pour demander la suppression de cette technique dont on dit qu’elle présente plus de risques que de sécurité.

Ainsi, le Docteur Coulange, chef de service de médecine hyperbare au CHU Sainte Marguerite à Marseille, a pris la tête d’une fronde en publiant un véritable réquisitoire à l’intention de la FFESSM. En 2008 déjà, avait été initiée une analyse rétrospective sur les cas de surpression pulmonaire survenus lors d’exercices de remontée sans embout. Ce qui, pour le médecin, représentait une cause inacceptable et motivait une remise en question de la RSE.

A l’époque, cette étude n’avait pas ému le vice-président de la Fédération et président de la Commission Technique Nationale (CTN), n’y voyant qu’un sujet de polémique. Quelques mois plus tard, le rapporteur médical de la FFESSM estimait que le risque d’accident était identique à tout exercice réalisé en formation, précisant au passage que cette technique avait probablement permis d’éviter des surpressions pulmonaires lors de remontées consécutives à de vraies pannes d’air. D’où l’importance de le garder.

Le Docteur Coulange répliquait alors que d’autres fédérations comme la FSGT en France ou la LIFRAS en Belgique avaient, elles, pris la décision de suspendre cette pratique, remettant en cause son intérêt pédagogique puisque suite à cet arrêt, le nombre d’accidents lors de pannes d’air n’avait pas augmenté.

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En 2009, le Docteur Tino Balestra, de DAN International, publiait une étude qui renforçait les arguments en faveur du risque accru de surpression pulmonaire lors de la pratique de la RSE. Malgré cela, le médecin rapporteur du groupe de travail de la FFESSM concluait dans une réunion de la Commission Technique Nationale qu’il n’existait pas de raison médicale pour remettre en question cette pratique.

En 2010, d’autres autorités médicales de la plongée, notamment de la Sécurité Civile et de l’INPP, apportèrent elles aussi leur avis sur les dangers de la RSE. Pourtant rien ne changea dans les formations en France, sous prétexte qu’il est préférable de continuer à pratiquer cette technique dans un cadre sécurisé avec un encadrement compétent, plutôt que de laisser un plongeur livré à lui-même, seul et pas entraîné, en situation réelle lors de la survenue d’un problème, surtout s’il mène une palanquée de plongeurs débutants.

Nouvelle offensive en 2014 à l’occasion des Assises de la plongée qui se sont tenues sous l’égide du Préfet Maritime. Les arguments exposés précisent que la RSE n’est pratiquée que par la FFESSM, au niveau 4 et au MF2. La FSGT ne le pratique pas. L’ANMP a mis en place pour son niveau 4, un tirage au sort entre deux épreuves, la RSE et une gestion de la remontée. La gestion de la remontée est systématiquement tirée au sort (sic) et l’épreuve de RSE n’existe que sur le papier pour éviter la non-reconnaissance du niveau 4 ANMP par la FFESSM.

La crédibilité de l’exercice en cause

A l’international, l’exercice n’est pas pratiqué. Il n’y aurait aucune justification technique à sa réalisation. Le fait d’avancer qu’il s’agit de prévenir les risques de surpression pulmonaire ne serait pas crédible, du fait que l’exercice n’est pas demandé au niveau 3. Alors pourquoi au niveau 4 et au MF2 ? Il s’agirait d’une réminiscence de l’époque où l’on plongeait avec un matériel beaucoup plus rudimentaire (tringle de réserve peu fiable), où il était envisagé que l’encadrant donne son embout sans pouvoir le récupérer et soit obligé de regagner la surface en apnée. A l’époque, cet exercice, malgré son caractère dangereux, avait été jugé nécessaire.

Pourtant, certains médecins fédéraux cautionnent la justification de la RSE. Ce qui permet de clore le débat, puisque justifié par la médecine fédérale.

Sur le plan politique, le maintien de cet exercice permettait aussi de bloquer l’entrée sur notre territoire des organismes étrangers et de refuser les équivalences, sous prétexte qu’ils ne le pratiquent pas.

Ces dernières années, des accidents répétés lors d’entraînements à la RSE, dont certains se sont soldés par le décès de la victime, ont amené la FFESSM à infléchir sa position. La CTN de septembre 2014 reconnaît de fait, la dangerosité de l’exercice, mais ne se résout pas à l’abandonner, arguant que « cette problématique devait s’intégrer dans un regard global concernant la formation et la certification à la plongée »…

Un groupe de travail devait proposer une épreuve de substitution, chose qui n’est pas arrivée à terme aujourd’hui.

Pourtant 2014 est malheureusement marquée par le décès d’une plongeuse à Marseille au cours d’une RSE. Le 15 juin 2015, le président de la CTN pèse sur les commissions techniques régionales, en leur faisant remarquer que les examens qui ne présenteraient pas d’épreuve de RSE ne seraient pas validés. Quelques jours plus tard, un nouvel accident s’est produit dans le nord-ouest de la France, chez un candidat MF2.

A la suite de cet événement, l’épreuve est suspendue dans l’attente d’une décision du Comité Directeur National. Il ne s’agit pas d’une suppression de l’épreuve, mais d’une neutralisation provisoire.

L’histoire n’est donc pas encore finie et la question se pose toujours : la RSE est-elle une sécurité ou un danger ?

Les arguments de la défense

La pratique de l’exercice de remontée sans embout est-elle totalement inutile ? Le risque de surpression pulmonaire encouru lors de cette pratique doit-il être négligé sous prétexte que cet exercice peut (quand même) sauver des vies lors de pannes d’air réelles ?

Telles sont les questions que nous avons posées à plusieurs cadres techniques de la FFESSM, afin de répondre aux accusations et pouvoir apprécier les intérêts en jeu pour les deux parties.

La réponse qui revient systématiquement, dans sa logique imparable prend la forme d’une question en retour : doit-on supprimer tous les exercices qui sont dangereux dans la pratique de la plongée ? auquel cas, la plongée elle-même étant une activité à risque, ne doit-on pas dans ce cas, supprimer purement et simplement la pratique de la plongée sous-marine ?

La réponse se transforme donc en une démonstration par l’absurde. Bien sûr, il n’est aucunement question de supprimer la pratique de la plongée sous prétexte qu’il se produit parfois des accidents. De même, la RSE étant un exercice, risqué certes, mais qui permet au pratiquant de prendre suffisamment confiance en lui pour gérer une remontée accidentelle consécutive à une panne d’air, ou bien à la perte d’un embout confisqué par un compagnon indélicat, elle trouve néanmoins suffisamment d’utilité pour freiner les ardeurs des partisans du « tout-sécurité ».

Pour cet instructeur, par définition, tous les exercices développés dans l’entraînement aux différents niveaux de plongée, correspondent à des problèmes qui peuvent survenir en immersion et auxquels on apporte une solution. Il n’est pas toujours aisé de trouver une solution sans aucun risque à une situation potentiellement mortelle, sinon la pratique s’en trouverait grandement facilitée… Par conséquent, le fait même de se trouver dans une posture dangereuse implique la possibilité d’une issue hasardeuse et la solution proposée n’est dans le pire des cas qu’un moindre mal… Alors, le fait de supprimer la solution sous prétexte qu’elle présente un risque ne supprimera pas le danger encouru à l’origine de l’incident.

Pour cet autre instructeur, dire que la RSE est totalement inutile est un non-sens. Bien sûr, les conditions de plongée ont évolué et les chefs de palanquée sont aujourd’hui équipés d’un double détendeur, ce qui limite les risques de se retrouver sans moyen de respirer au cas ou l’assisté paniqué garderait l’embout en bouche. Il suffirait à l’assistant de prendre alors son deuxième détendeur. Ce qui veut dire qu’à partir de ce moment, il n’a plus de possibilité d’assister une autre panne éventuelle survenant à un autre compagnon de palanquée. Ainsi le reste des membres de la palanquée n’a qu’à bien se tenir ! Dans ce genre de situation extrême qui présente une parfaite illustration de la Loi de Murphy (dite Loi de l’emm…dement maximum), le fait pour le chef de palanquée de savoir qu’il est capable, au pire, de remonter sans embout est d’un grand secours psychologique. Même si les paramètres de la plongée et notamment la vitesse de remontée et les paliers ne sont pas respectés, rien que le fait de savoir qu’il est capable d’atteindre la surface peut lui éviter de paniquer. Le but étant d’atteindre la surface en ne laissant personne au fond…

Un autre instructeur, plus spécialisé en plongée Tek, argue du fait que dans certaines conditions, un plongeur peut se retrouver seul et s’il connaît à ce moment-là un problème, il devra remonter sans aide. C’est le cas par exemple dans la pratique de la plongée solo (la plongée solitaire – NDLR). Le plongeur, seul pendant sa plongée, a normalement tout prévu pour palier à toute éventualité (redondance). C’est le principe de base de la plongée Tek. Il n’empêche que dans une situation qui dégénère, le fait d’être capable de regagner la surface en RSE peut être salutaire et lui apporte un confort psychologique appréciable.

Mais plus encore que la plongée Tek, dans le cas d’une palanquée de plongée de loisir, un plongeur distancé par ses compagnons de palanquée, comme cela arrive très souvent, peut avoir ce problème : comme il se retrouve isolé, le stress peut l’inciter à consommer plus ; puis il va palmer plus fort pour essayer de rattraper ses compagnons, s’essoufflant un peu plus et augmentant par conséquent sa consommation. Le voilà en situation de tomber en panne d’air alors qu’il se trouve encore trop loin de ses compagnons pour pouvoir être assisté rapidement. Si une telle situation se produit, il y a fort à parier que le plongeur, gagné par la panique, verra instinctivement son salut vers la surface plutôt qu’à courir (palmer…) à la poursuite de ses compagnons alors qu’il est déjà essoufflé, se sentant incapable de les rejoindre. Si l’infortuné n’est pas capable de gérer une remontée sans embout, il risque fort de ne pas atteindre la surface et de se noyer en route. Alors quand les détracteurs de la RSE affirment que la RSE est inutile en l’absence d’accident avéré, c’est peut-être tout simplement parce que ces drames se terminent en noyade et ne sont donc pas reconnus comme surpression pulmonaire et pour cause, puisque le plongeur s’est noyé avant…

La solution serait ailleurs ?

A ce stade de notre enquête, nous en sommes à un parfait match nul. D’un côté le fait que la RSE est dangereuse ; de l’autre, le fait que le problème qu’elle est censée régler, la panne d’air, ne sera pas résolu si on la supprime.

La solution est peut-être à chercher sur le plan technique, dans le domaine professionnel. Ainsi dans certains services de l’administration utilisant les services de plongeurs pour les enquêtes ou les sauvetages, la RSE est non-seulement toujours pratiquée, mais elle est généralisée à tous les niveaux et pas seulement aux encadrants. Certains formateurs pro n’hésitent pas à dire que tout plongeur appelé à intervenir, doit être capable en cas de panne d’air, de remonter de sa profondeur d’intervention jusqu’à la surface. Ainsi, pour l’aptitude à l’immersion dans la zone des 40 mètres, le plongeur sera entraîné à la RSE de 40 mètres !

Plus intéressant encore est la manière dont est enseignée la RSE à ces professionnels. Ce qui prime, enchaîne le formateur, c’est de placer l’élève dans les conditions les plus proches possible de la réalité. C’est là que la formation fédérale est dans l’erreur. Au lieu d’amener à la pratique de la RSE dès le début, de façon très progressive afin d’habituer les élèves et réduire ainsi le stress de façon conséquente (ce qui était pratiqué sans problème par la précédente génération de plongeurs, vous savez, les « vieux de la vieille »…), on a reculé l’épreuve au niveau 4, qui est devenue un véritable obstacle d’apparence insurmontable. Les élèves abordent ainsi cette épreuve avec un stress maximum, persuadés que ça va mal se passer. On veut se débarrasser de cette épreuve comme d’une corvée. Résultat : dès le départ du fond, ils remplissent leurs poumons à fond par peur de ne pas arriver en surface, puis au cours de la remontée par une mauvaise appréciation de la distance restant à parcourir, ils ont tendance à retenir l’air, ce qui multiplie les risques de surpression pulmonaire. Alors qu’ils devraient faire exactement l’inverse !

Déjà, dans la réalité, quand un plongeur tombe en panne d’air, il s’en aperçoit selon toute logique au moment où il inspire. Il se trouve alors en fin d’expiration, c’est-à-dire qu’il est à ce moment en apnée expiratoire. Il n’a donc plus ou presque plus d’air disponible.

Donc, rien que le fait de pratiquer l’exercice avec les poumons pleins d’air le place hors contexte de réalité. Pour s’approcher le plus possible des conditions réelles, l’élève doit donc, après avoir lâché son embout, procéder à deux vidages de masque successifs afin d’être sûr qu’il se retrouve en apnée expiratoire, comme dans la réalité. Il peut ensuite entamer sa remontée, qui sera certainement plus rapide mais moins risquée pour les poumons. Pourquoi ? Il suffit de revoir la Loi de Mariotte : la capacité totale des poumons est d’environ 6 litres. A l’issue de ses deux vidages de masque, le plongeur va se retrouver avec seulement le volume résiduel et une partie du volume de réserve expiratoire, soit 1,5 litre environ ; mettons 2 litres au cas où il aurait réussi à économiser un peu d’air lors des vidages de masque. Pour une RSE de 20 m, soit 3 bar de pression absolue, en remontant même sans expirer, le volume va tripler, soit 2 litres X 3 = 6 litres. Le plongeur peut donc quasiment atteindre la surface sans trop de risque de surpression, au cas où il n’aurait pas du tout soufflé. Le reste est affaire d’apprentissage. On voit alors que si l’élève souffle un tant soit peu, il est largement en-dehors du risque de surpression. Et s’il a reçu une formation régulière et progressive en ce qui concerne la profondeur de l’exercice (5 mètres, puis 10 mètres, puis 15…), il ne risque pas d’avoir le réflexe de retenir sa respiration.

Cette technique a fait ses preuves et il n’y a aucun cas de surpression pulmonaire dans les services qui la pratiquent.

Ensuite peuvent intervenir d’autres techniques complémentaires comme la béance tubaire, tête en extension, qui favorise l’expulsion du trop-plein d’air si nécessaire, sans risquer d’en relâcher trop.

En conclusion, si la technique de RSE est pratiquée de façon réaliste et très progressive, elle ne présente pas plus de risque que n’importe quelle autre technique et elle garde toute son efficacité, tant pratique que psychologique.

Alors, le problème de la RSE serait-il simplement un problème pédagogique ? Peut-on adapter cette technique professionnelle à la plongée sportive ? Cela semblerait la meilleure solution. Toujours est-il qu’au niveau de blocage actuel, la Fédération a tout intérêt à étudier les différentes possibilités et dans le cas du maintien de la RSE dans la formation, la manière de l’enseigner, qui présente assurément de grosses lacunes, serait certainement à revoir… en profondeur !

 

3 COMMENTS

  1. “ou la LIFRAS en Belgique avaient, elles, pris la décision de suspendre cette pratique, remettant en cause son intérêt pédagogique puisque suite à cet arrêt, le nombre d’accidents lors de pannes d’air n’avait pas augmenté.”
    NON: la LIFRAS n’a pas SUSPENDU mais SUPPRIME l’exercice ainsi que toutes les autres organisations Belge (ADIP…) et ce depuis 2004 a la suite d’un article publié dans plongée journal et signé pas les médecins hyperbare de l’UZA (Hôpital d’Anvers)

    Voir l’article en page 3 http://www.jctdive.be/page-version2004/plongee-journal/pl-septembre.pdf

    La 2F n’a jamais que 13 ans de retard 🙂

  2. Sans vouloir rentrer dans le débat de pour ou contre cet exercice, j’ai quelques remarques :
    – à mon sens, à aucun moment la RSE n’est justifiable en plongée loisir par la panne d’air ! Rappelons plutôt que d’apprendre à gérer le pire, il vaut mieux apprendre à éviter le pire. Tous les scaphandres étant équipés de manomètre, il faut pour des plongeurs encadrés qu’ils ne surveillent pas leur stock d’air, qu’ils consomment plus que les autres et que leur guide ne surveille pas non plus ! Pour moi une panne d’air ne doit pas arriver.
    – Mais si jamais la panne d’air arrive, on apprend quand même aux plongeurs à venir se servir sur le coéquipier ou demander de l’air (selon les fédérations). On n’apprend pas à réagir à la panne d’air par une remontée d’urgence à la surface.
    – Si on veut pousser le scénario catastrophe jusqu’au bout : on est en panne d’air, nos équipiers sont trop loin : pas de soucis, en remontant on va pouvoir respirer quelques bouffées d’air. En effet, le détendeur délivre de l’air à la pression ambiante. Donc en remontant, la pression diminue et le détendeur peut nous envoyer un peu d’air, ce qui fait qu’une RSE est inutile. De plus, il me semble qu’on peut considérer que la raison principale de la panne d’air serait la mauvaise gestion de son stock. Les pannes matérielles engendrant une panne d’air ayant disparu de nos jours. Et une panne d’air véritable, ça se sent venir. Le détendeur devient de plus en plus dur, il faut forcer pour inspirer de l’air. Donc on est prévenu. Plus ou moins selon le détendeur, mais ça ne frappe pas d’un coup. Donc pas de remontée d’urgence.
    – du coup quelle justification à la RSE ? Pourquoi la travailler au N4 et MF2 uniquement ? De mon point de vue, comme vous le dites justement dans l’article, cet exercice va permettre de développer des compétences, de gagner en confiance. Les situations qui m’ont amené à effectuer une RSE ont été à chaque fois des paniques ou remontées incontrôlées d’un plongeur. Dans ce cas on ne réfléchit pas, on fonce pour rattraper le plongeur avant qu’il ne perce la surface. Et une fois arrivée au niveau du plongeur et la situation maitrisée, je m’apercevais que je n’avais fait que souffler (et c’est tant mieux ! je précise que j’avais l’embout en bouche, donc ce n’est pas vraiment une RSE). Ce qui peut justifier de l’enseigner au N4 et MF2…

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